La malédiction Hilliker
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Au début, il n’y avait qu’elle. Margaret, ma mère. Mon père et elle on divorcé lorsque j’avais environ 10 ans, je suis parti vivre avec elle dans un quartier moins agréable.
Je n’aimais souvent pas les hommes qu’elle ramenait à la maison pour baiser, ni sa consommation d’alcool. Mais cela me permettait une vie extérieure, d’observation des autres filles, plus grandes.
Et puis elle a été assassinée, et je suis retourné vivre chez mon père, jusqu’à ce que lui même meure. J’ai eu des moments difficile, à dormir dans la rue, à manger ce que je gagnais dans des boulots minables, ou en entrant chez les gens. Rien ne me plaisait plus que de rentrer dans l’intimité de filles et de femmes que j’observais par les fenêtres.
Après 10 ans de vie perdue, c’est finalement l’envie de séduire qui m’a sauvé. Puis Helen Knobbe. Helen qui m’a tenu pendant 14 ans de vie presque commune. Mais le Sexe nous a quitté, et il fallait réinventer une envie.
Joan, donc. Celle dont je rêvais déjà 20 ans avant de la connaitre, celle qui aimait les hommes dotés de sexes de bourricots et les discussions enflammées. Là encore, nos chemins ont divergé.
C’est Kareen qui a su se faire désirer plus de deux ans, et ce temps passé nous a permis de construire quelque chose de différent. Durable.
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