Les hommes, en général, me plaisent beaucoup
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Lili est heureuse, avec Samuel, son mari, dans sa maison en face du zoo. Une vie paisible, douce, avec des promesses de ventre-enfant, et de famille-bonheur.
Mais d’abord loin, puis plus près, c’est le Yoïm-souvenir qui revient. Lui, avec son sexe-plaisir, son corps immense, mais aussi ses cachets. Avec aussi les autres images.
Les images de la jeunesse, perdue entre une mère trop tôt morte, un petit frère éteint, et un père nazillon, qui les laissaient des semaines, seuls dans l’appartement, lorsqu’il allait faire ses tournées pour le Parti de Dodolphe.
Des images du Yoïm-plaisir, quand elle avait 14 ans, et qu’il l’avait enlevée, elle et son frère, à l’appartement prison. Qu’il avait mis sa langue entre ses jambes, et qu’elle était devenue femme-rêve de maison.
Mais aussi des images du Yoïm homme, qui avait vendu son cul, et l’avait amenée en prison. 7 ans de camp, viol par les autres prisonnières, absence de soleil, juste Samuel, qui venant toutes les semaines, apportait de l’extérieur dans le dedans du camp. Et qui l’en avait sortie.
Alors Lili se dit qu’elle doit retrouver le petit frère, qui a du devenir grand, et garder Samuel, même s’il tremble devant sa mère et qu’il semble aimer les filles jeunes. Et arrêter la queue et les cachets de Yoïm. Avec son grand couteau.
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