C’est une chose étrange à la fin que le monde
par
popularité : 30%

Dans la 1ère moitié du livre, l’auteur alterne les chapitres le fil du labyrinthe et le rêve du vieux. Il retrace l’évolution de la pensée de l’homme par rapport à la compréhension du monde, de l’univers, de son origine et de la place de l’homme dans ce monde. Aussi bien d’un point de vue philosophique, idéologique, religieux que scientifique. Y défilent toutes les théories scientifiques, de Copernic à Newton, de Huygens à Planck en passant par Einstein, Heisenberg, Hubble qui ont tenté d’expliquer, d’ordonnancer, de réduire sous forme d’équation l’univers, le temps, la lumière, la matière. Tous ont levé un coin du voile, remise en question les théories de leurs prédécesseurs, et tous se sont cassé les dents sur d’autres théories. A chaque fois qu’on s’approche d’une vérité, un nouveau mystère apparaît. Tenez, le mur de Planck, qui indique que l’on ne pas peut s’approcher de plus de 10-43 seconde de l’explosion originelle. Il fait de même avec les grands philosophes, naturalistes…
Et c’est une sorte de dialogue s’instaure entre cet exposé et un Dieu, qui s’amuse des atermoiements des hommes sur tous ces sujets et bien sûr, son existence.
Cette première partie sert de matière consistante à la deuxième partie du livre : réflexions de l’auteur sur le sens de la vie, que faire de notre bref passage sur terre, le temps, la mort et de l’intérêt (ou pas) de croire en un Dieu. Avec moult digressions et anecdotes sur sa vie personnelle, qui caractérisent l’œuvre de Jean d’O.
Commentaires