Mon nom est Rouge

dimanche 21 août 2005
par  Sylvain
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Istanbul, hiver 1591. Un peintre miniaturiste est assassiné.

Le Noir revient de 12 ans d’un exil où son oncle l’avait envoyé pour le punir d’avoir déclaré sa flamme à la belle Shékuré.

Pour reconquerrir le coeur et le lit de Shékuré, maintenant veuve, Le Noir est chargé par son Oncle de l’aider à finir un livre enluminé, commandé par le Sultan, et qui doit contenir un portrait du Sultan, chose interdite par l’Islam.

L’Oncle est lui aussi assassiné. Aidé du Maitre de la corporation des peintres, Le Noir va identifier le peintre coupable de ces meurtres, commis pour éviter de devoir comparer l’art turc islamique à l’art Occidental.

Et Le Noir pourra vivre enfin avec Shékuré.


Commentaires

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jeudi 1er octobre 2009 à 17h52 - par  webmestre

Bonjour, j’ai lu ce roman lors de sa parution. C’est très bien mais plutôt ardu. D’ailleurs, j’ai calé sur "Neige". Il faudrait que je m’y remette car l’écriture est belle. Bonne fin d’après-midi.

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dimanche 21 août 2005 à 15h43 - par  sylv1

Sous couvert d’une petite intrigue policière et amoureuse, ce livre propose une mine de connaissances sur l’art islamique et la vie courante à Istambul.

Le rôle social et religieux de l’art, des sources d’inspiration et des techniques sont présentés par plusieurs personnages, certains ouverts sur l’Occident, d’autres appeurés par les nouveautés et leurs impacts possibles.

Toute l’histoire est racontée en alternant le personnage narrateur, ce qui permet à l’auteur, en plus de varier les styles, de présenter diverses facettes de la vie sociale turque.

Le tout est très interessant, même s’il est un peu ardu de rentrer dans le livre.

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